Au fait de notre réputation de tombeur de champions, Lagarrigue arrive avec sa meilleure équipe composée d’un joueur classé 15/5 et de 3 joueurs classés 30. Les fraises gariguettes sont surpris de trouver en face une équipe de poissons pas frais. Le leader ne s’est pas fait d’ailleurs pas prier pour ramener sa fraise et pour nous donner quelques leçons.

Lesson one : il y a trop de grandes maisons dans notre région

Lesson two : le filet n’est pas assez bas nécessitant une intervention avec un bout de ficelle

Lesson tree : L’équipe 2 manque de joueurs mieux classés…

Julien entame la rencontre avec un grand sérieux, mais son manque de fraicheur tennistique aboutit à une sévère défaite 6/0 6/1.

Jean-Luc ne fait pas mieux avec son manque de fraicheur jambistique, une crampe au bout de 20 minutes : 6/1 6/0.

A noter la parfaite synchronisation des 2 matchs qui finirent en même temps au bout de 50 minutes bien tassées.

Eric, survolté par un adversaire surclassé, commence un match très combatif, accrochant tous les jeux. Il perd le premier set 6/2, mais après 1 jeu dans le second set, c’est l’abandon après une crevaison de mollet .

Mathieu, avec son manque de fraicheur global suite à un nuit de 2 heures de sommeil, a la chance de recevoir des leçons de tennis, des conseils, des commentaires, et j’irai même à dire quelques leçons de foot (hache de gueule), par un adversaire supérieur en tout. Défaite 6/1 6/1 malgré quelques beaux points et un énervement contenu (je n’ai pas écrit le mot en 2 parties pour rester sportif).

Pour le double, nos 2 joueurs valides, sortirent un jeu appliqué qui gêne fortement leurs adversaires. Ce fut un match serré malgré une défaite 7/5 6/2. Une équipe de double à travailler.

Nous finîmes donc par un repas frugal (merci à la maman de Mathieu pour le dessert), ou nous prîmes quelques leçons complémentaires. Les bars ne doivent pas se situer trop proches des terrains de sports,…

Bref, une journée de … poissons pas frais.

Jean-Luc